На выходных просматривая, раздобытую на просторах инета Chabada, услышала вот эту песню:
И чего-то она мне так запала в душу. Она на полтора десятка лет меня старше. И я, вряд ли, смогу почувствовать и понять все, что вкладывал в нее автор. Но хиповое настроение уловила :)
Tu as posé ton fardeau et sans regret
Tu as dit, à bientôt
La route s'est ouverte à tes pas
Tu sais que là-bas tout un monde n'attend que toi
Parfois tu imagines un repas de roi
Mais tu n'oublies pas que d'autres ont plus faim que toi
Quand le soir te laisse désemparé
Tu sais où rencontrer les compagnons qui sauront te consoler
On ne te demande pas
Ce que tu étais, ni ce que tu faisais
Tu es là, on t'offre l'amitié
Parfois tu prends ta guitare
Tu joues les chansons de Dylan ou de Vian
Et les yeux s'éclairent bien souvent
Et puis soudain tu trembles, car tu comprends
Que tous leur mots troublant ne sont que réalité vraiment
Alors tu reprends la route, et tu vas dire au loin
Le Mal n'est pas le Bien
Mais tu sais que les gens n'entendent rien
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